Extrait d’un entretien de F.V avec Séraphin des Prades
Séraphin des Prades : Pourquoi t’es-tu intéressée à Diogène ?
F.V : L’exposition au Carré d’art de Nîmes se terminait sur une salle « Diogène ». Sa pensée philosophique est difficile. Lire M. Onfray m’a aidé. J’y ai trouvé ce qu’intuitivement je ressentais. A savoir que le modèle à suivre est celui de l’observation de la nature et des animaux. Que les conventions sociales sont à fuir comme la peste, car elles désignent toutes les fausses constructions des humains entre eux. Dans notre contemporanéité il me dit aussi qu’il faut revenir à soi, sortir de la fausse famille des médias, se protéger du bruit, ne pas accepter le cynisme, dire « NON » d’une autre manière.
S des P : Il était misogyne.
F.V : Les femmes sont autant critiquables que les hommes. Malheureusement, elles ne cultivent pas leurs différences. Il les aimait libres. Si elles ne singeaient pas les hommes le monde serait différent. »
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